Ballon d’Or 2019 : Ronaldo out ! Voici le nom du vainqueur qui soulèvera le trophée lundi prochain

Ballon d’Or 2019

Ronaldo out ! Voici le nom du vainqueur qui soulèvera le trophée lundi prochain

Publié le 29 Nov. 2019 à 20h 25’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

Le Ballon d'Or 2019 que soulèvera Leonel Messi ce lundi

Alors que nous sommes encore à plusieurs jours de la grande soirée de remise, l’on connaît déjà le vainqueur du plus prestigieux trophée des meilleurs footballeurs, de cette année 2019. Le nom du vainqueur a fuité depuis la France, et des mure-mures foisonnent de partout.

Selon les indiscrétions, ni le portugais Cristiano Ronaldo de la Juventus, ni le sénégalais Sadio Mané de Liverpool qui a forgé tant d’espoir pour un second exploit continental historique après Georges Weah, ne sera à l’honneur lundi prochain, devant les caméras, yeux et oreilles du monde entier. Mais ce sera l’argentin de Barcelone FC, Leonel MESSI « la Pulga » qui brillera encore de mille feux.

En effet, selon les informations du média en ligne « 90 min », une délégation de France Football était dans les locaux de Barcelone FC lundi dernier, pour réaliser une interview avec le phénonmène du dossard N°10, certainement pour des clichés de son 6è « Ballon d’Or » qu’il soulèvera ce lundi 02 décembre prochain.

Le hic qui fera « parler » suite à la remise ce lundi sera lié au classement. Des sources crédibles, Cristiano Ronaldo n’est même pas 2è sur la liste de classement. Il a été surclassé par Virgil Van Djik, donc 3è. Et déjà, le portugais menace de ne pas assister à la cérémonie. Ce qui préoccupe davantage le comité d’organisation de France Football qui mène déjà des démarches pour le convaincre à « venir voir son pire adversaire, Leonel Messi soulever le trophée à son détriment ».

En séjour au Bénin depuis dimanche dernier : Anna Téko en concert live ce soir dans une église protestante à Akpakpa

En séjour au Bénin depuis dimanche dernier

Anna Téko en concert live ce soir dans une église protestante à Akpakpa

Publié le 29 Nov. 2019 à 15h 00’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

La dame à la voix resplendissante qui fait rayonner avec majesté la musique gospel d’origine béninoise de par ses œuvres à travers le monde entier, Anna Téko est en séjour dans son pays. Elle est descendue à Cotonou en provenance de la Guadeloupe où elle vit avec sa famille, en compagnie de son staff managérial le dimanche 24 novembre dernier. Objectif, répondre à un rendez-vous professionnel et bien spécial: un concert live dans les locaux de l’Eglise Protestante Méthodiste de Yénawa à Akpakpa.

Organisé dans le cadre de la traditionnelle fête des moissons prévue pour ce dimanche 1er décembre, le spectacle baptisé la « Nuit de la Moisson » réunira ce soir à partir de 19h 30’, une autre figure de la musique gospel du Bénin. Son nom, Ange Ahouangonou alias « Kinivi ». Mais bien avant ces deux prestations de haute facture, la chorale « Paix divine » en provenance de Godomey et l’humoriste « Afountountoun » égailleront le public qui fera le déplacement des vastes locaux de l’église organisatrice.

Pendant plusieurs heures donc ce soir à l’église protestante méthodiste de Yénéwa à Akpakpa, les gongs, les castagnettes, les drums, les trompettes, la guitare basse et solo, le piano et les grondements mélodieux de la batterie, le tout harmonisé par les paroles envoûtantes des timbres vocaux respectés résonneront avec aisance dans les milliers d’oreilles pour ne faire que secouer les corps de la tête jusqu’aux pieds…

Pour ceux qui ont bien envie de revoir et de revivre en live la chaleur de cette perle d’or de la musique gospel, Anna Téko,  il suffira de débourser une modique somme de 1.000 F ou 2.000 F à l’entrée. Mais le billet de réservation pour se garantir une meilleure place est fixée à 5.000 F cfa et est encore disponible au 97216945 ou au 97020316.

Négligés et disparus des assiettes depuis lors : Voici les mets locaux et authentiques intéressants ressuscités par les Xwla et Sètô de l’UFFED dimanche dernier

Négligés et disparus des assiettes depuis lors

Voici les mets locaux et authentiques intéressants ressuscités par les Xwla et Sètô de l’UFFED dimanche dernier

Publié le 01 Déc. 2019 à 20h 02’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

Du ''Klaklou'' accompagné du poisson frit

Retour à la source, promotion des valeurs culturelles et résurrection des talents culinaires propres aux contrées du 229. Les membres de l’Union des Filles et Fils pour l’Eveil et le Développement de la communauté Xwla et Sètô et de la Diaspora (Uffed- Xwla et Sètô) ont épaté plus d’un. C'était le dimanche 24 novembre dernier, à l’occasion de la célébration du 2è anniversaire de ce creuset, désormais plus grand de la communauté.

Dans les locaux de la maison des jeunes de la commune de Sèmè-Kpodji après la messe d’action de grâce initiée pour la circonstance, sous la bénédiction d'un parterre d’invités venus soutenir la noble initiative, ce fut des mets d’origine béninoise jadis négligés, oubliés et disparus qui ont été servis et dégustés avec grande délectation.

Du « klaklou accompagné du poisson fumé ou frit » au « avlouda », en passant par le « adalou », le « sankpiti », le « ohan accompagné du coco», « de la sauce aux amères légumes », le « manioc », le « ablo yoki accompagné du coco » etc., chacun de ces mets rappelés dans les assiettes le dimanche dernier a été acclamé par tous.

Ceci, dans le but de perpétuer et de promouvoir les habitudes et valeurs culinaires de la localité Xwla et Sètô restées négligées surtout par la nouvelle génération.

Incroyable moment de nostalgie populaire, les papilles gustatives de ceux qui ont fait le déplacement ont permis de faire un bref retour dans un passé certainement pas lointain. Un véritable retour à la source qui forge la fierté et renforce son identité.

Cependant, l’inquiétude qui pousse la curiosité de poser une question, combien de parents Xwla et Sètô réussiront-ils à perpétuer cette vision dans leurs ménages pour immortaliser cette belle initiative afin que la nouvelle génération suive le guide ?

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Accusé de tentative de vol d’un poste téléviseur

Un jeune de 17 ans tabassé et assassiné à coups de bâtons, dans un bar à Godomey

Les auteurs du crime présentés au Procureur

Publié le 28 Nov. 2019 à 23h 22’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

Loïck Jourdan, le jeune-homme assassiné

Une scène macabre à l’allure d’une vindicte populaire a coûté la vie à un jeune-homme d’environs 17 ans, dans les locaux d’un bar situé à Godomey. Son nom, Loïck Jourdan. Elève dans un collège de la commune d’Abomey-Calavi, le jeune-homme était en classe de Terminale.

L’ignoble scène s’est déroulée dans la nuit du mardi 19 au mercredi 20 novembre dernier, dans les locaux du bar très connu et réputé pour une fréquentation de grande masse.

Dans une vidéo qui a longuement circulé sur les réseaux sociaux, on aperçoit un jeune-homme assis à même le sol, entrain de subir le châtiment corporel d’un groupe d’individus, pendant que lui, il hurlait sans cesse, embrouillé par un foisonnement d’interrogations auxquelles il répondait par des cris et gestes pour réclamer son innocence.

Selon nos investigations, les auteurs sont allés jusqu’au bout de leur besogne et ont commis leur crime dont ils n’en ressentaient aucun frisson d’inquiétude.

En effet, le jeune-homme a été tabassé et frappé essentiellement par la tête, jusqu’à rendre l’âme au bout d’une trentaine de minutes. Mieux, son corps a été ensuite jeté dans une pièce du bar, et l’ambiance a continué comme si de rien n’était.

Pourtant, il suffisait que le jeune « surpris » dans une tentative de vol de poste téléviseur soit conduit dans le commissariat d’arrondissement qui n’était pas très loin des lieux du crime. Ils ont préféré se faire justice en le tabassant jusqu’à mort.

Le lendemain, la police a été alertée. Tous les auteurs du crime ont été appréhendés et ont été gardés au commissariat de Godomey, non loin du cimetière PK14, avant d’être présentés au Procureur. Pour le moment, le corps du jeune-homme Loïck Jourdan est encore à la morgue.

Nous vous revenons pour plus d’amples informations dans nos prochaines parutions.

Commémoration du 2è anniversaire de l’UFFED Xwla-Sètô : Lumière sur les retrouvailles de célébration des grands acquis d’une noble initiative identitaire (La promotion des valeurs culturelles et de la civilisation des Xwla et Sètô résolument amorcée)

Commémoration du 2è anniversaire de l’UFFED Xwla-Sètô

Lumière sur les retrouvailles de célébration des grands acquis d’une noble initiative identitaire

La promotion des valeurs culturelles et de la civilisation des Xwla et Sètô résolument amorcée

Publié le 26 Nov. 2019 à 22h 05’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

Deux (02) années après sa mise sur les fonds baptismaux à Cotonou le 11 novembre 2017, l’Union des Filles et Fils pour l’Eveil et le Développement des Xwla et Sètô (Uffed-Xwla et Sètô) a réuni des milliers de ses membres ayant en commun le dialecte « Xwla », pour une commémoration grandeur nature à Sèmè-Kpodji. C’était le dimanche 24 novembre dernier par l’entremise d’une « messe d’action de grâce » célébrée par le pasteur Alphonse  Gbètomè épaulé par le pasteur Raphael Houessou. Ceci, pour une bénédiction d’imploration divine, suivie de deux autres activités populaires.

La première, une conférence-débat déroulée dans les locaux de la « maison des jeunes de Sèmè-Kpodji » abordant les obstacles et les insuffisances qui ont un temps soit peu, freiné l’atteinte des objectifs. Autre pan abordé, les progrès et les acquis de l’association, deux (02) années après une initiative qui constitue désormais le creuset de grande relance pour le développement de cette communauté qui relie plusieurs communes des départements de l’Atlantique, du Littoral et de l’Ouémé.

Des progrès et acquis, on note la démarche amorcée par les membres de l’actuel bureau, grâce à qui le dialecte « Xwla » sera enregistré par l’Insae pour être intégré dans le registre national béninois, les mois à venir…

Et c’est justement après ce précieux moment d’échanges que la réjouissance populaire (pique-nique) ait pris corps, pour explorer le retour avec fierté des mets d’origine de la communauté Xwla et Sètô  jadis ignorés, négligés ou méconnus de la nouvelle génération.

Du « klaklou accompagné du poisson fumé ou frit » au « avlouda », en passant du «adalou », du « sankpiti », du « ohan », « de la sauce aux amères légumes », etc., plusieurs  habitudes culinaires ont été rappelées dans assiettes le dimanche dernier dans les , dans le but de perpétuer la culture de leurs localités pour conserver la culture Xwla et Sètô négligée par la nouvelle génération.

Nous y revenons dans nos prochaines publications.

3è édition du projet « Journée d’Espoir » : La Fondation Princesse DOSSI fait rayonner le bonheur dans des milliers de cœurs à Comé ( L’artiste offre un impressionnant lot de vivres aux orphelins de ’’Bethel House’’)

3è édition du projet « Journée d’Espoir »

La Fondation Princesse DOSSI fait rayonner le bonheur dans des milliers de cœurs à Comé

L’artiste offre un impressionnant lot de vivres aux orphelins de ’’Bethel House’’

Un spectacle gratuit mobilise une forte population de la localité

Publié le 25 Nov. 2019 à 19h 35’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

Par l’entremise d’un noble projet d’assistance et de partage intitulé « Journée d’Espoir », la vedette béninoise accroc de la world music Princesse Dossi vient encore de faire parler son cœur au profit des personnes déshéritées.

A l’occasion de la 3è édition de cette initiative concrétisée pour marquer d’une manière glamour la célébration de son anniversaire (21 novembre), la ville de Comé a été émerveillée le samedi 23 novembre dernier, grâce à la ferveur très festive de plusieurs activités déroulées par le staff de la promotrice du projet, sous l’égide de son écurie : la Fondation Princesse Dossi. Tout ceci, grâce à la bénédiction du haut parrainage du directeur général du Fonds des Arts et de la Culture, Gilbert Déou-Malé, avec le soutien de quelques autres mécènes.

Princesse Dossi, artiste musicienne, initiatrice du projet

Parti de Cotonou avec le soutien des membres de son fan club « La Cité des Couronnes », le cortège de la donatrice a atterri dans les locaux de l’orphelinat « Béthel House » de Comé. Mobilisés pour la circonstance, les dizaines d’enfants qui séjournent dans ledit orphelinat ont accueilli avec gaieté, les visiteurs et la donatrice (l’artiste) qui faisait preuve de grande fierté, pour l’ardeur et l’écho très favorables créés par son geste.

Allocution d’accueil du directeur de l’orphelinat ; mot de bienvenue de la donatrice Princesse Dossi ; remise symbolique des vivres ; allocution de remerciement du porte-parole des élèves orphelins bénéficiaires, le tout auréolé d’un déjeuner avec tous les orphelins du centre, Princesse Dossi a fait preuve d’un véritable geste qui témoignent du fond de son cœur, l’amour et la volonté manifeste d’un soutien mémorable.

En un mot, la Fondation Princesse Dossi a accompli de la plus élégante manière possible, sa mission cette année à Comé.

Après l’orphelinat, destination l’esplanade de la « Maison des jeunes de Comé », pour un spectacle gratuit au profit des enfants et des jeunes massivement mobilisés et qui ont accueilli avec allégresse, l’initiative.

Quatre (04) événements en un (01) …

Pendant près de deux (02) heures d’horloge, l’esplanade de la « Maison des Jeunes de Comé » a été mis sous les feux de la rampe et a été la plus grande attraction populaire de la localité. Concours de danse avec les enfants, à travers des sonorités urbaines et celles de chez nous ; prestations artistiques des artistes locaux; et vint le grand moment du ''show'' assuré par l’artiste Prophétie Dôdayi, le précurseur des célèbres chansons « Tèba » et « Ama di nou ô Zomin wè… ! », chapeauté par l’artiste, initiatrice de l’événement, Princesse Dossi.

Et c’est bien à l’occasion de ce spectacle à Comé que l’artiste Princesse Dossi a lancé son tout dernier single intitulé « Mariage forcé ». A travers cette œuvre exécutée en dialecte fon puis en français, la protégée de la maison de production Superman Records revient sur les conséquences catastrophiques qu’engendre le phénomène du mariage forcé des enfants.

Le 4è événement qui a consacré cette journée marathon de l’artiste, c’est bien la célébration symbolique de son anniversaire, déroulée à travers une coupure du gâteau. Mais cette fois-ci, dans un bar VIP d’Atrokpocodji, commune d’Abomey-Calavi.

Nous y revenons.

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De  retour d’une prestation artistique hier samedi

Rico’s Campos et ses danseurs victimes d’un grave accident de circulation

Publié le 24 Nov. 2019 à 13h 25’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

L'artiste Rico's Campos victime d'un accident de circulation

La rumeur fait le tour des réseaux sociaux depuis hier samedi nuit. Après notre enquête, l’information a été confirmée par un proche de la vedette.

Hier samedi 23 novembre 2019, aux environs de 20 heures, alors qu’il revenait d’une prestation artistique à Allada avec ses danseurs, le phénomène de la musique du terroir Yoruba « gbon », Rico’s Campos a été victime d’un violent accident de circulation. Selon les informations de première main, il s’agit d’une collision avec un autre véhicule qui, en provenance de Cotonou et roulant à une allure incontrôlée, a causé le drame.

Une image du véhicule de Rico's Campos, après l'accident

Bilan, un important dégât matériel enregistré, des blessés graves mais aucune perte en vie humaine.

Selon la source, l’artiste Rico’s Campos était à bord d’un véhicule de cinq (05) places dont la tôlerie a été endommagée presqu’à la moitié, à cause du choc très violent de la collision, après l’accident. Rapidement, l’artiste a été conduit, lui avec ses danseurs, au Centre Hospitalier Départemental de l’Ouémé sis à Porto-Novo où ils reçoivent tous les soins intenses.

Joint à nouveau il y a quelques minutes, un membre du staff technique de Rico’s Campos nous a informé que fort heureusement, le pire a été évité. « Rico’s Campos se porte bien… », nous rassure-t-il.

Nous vous revenons dans notre prochaine publication, pour plus d’informations à cet effet.

2è anniversaire de l’UFFED : La communauté Xwla et Sèto célèbre l'an 2 de sa plus grande association de développement ce dimanche

2è anniversaire de l’UFFED

La communauté Xwla et Sèto célèbre l'an 2 de sa plus grande association de développement ce dimanche

Publié le 23 Nov. 2019 à 11h 55’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

Mise sous les fonds baptismaux dans une ferveur conviviale le 11 novembre 2017, l’Union des Filles et Fils pour l’Eveil et le Développement de la communauté Xwla et Sèto (Uffed) commémore ses deux (02) années de naissance. Ce sera demain dimanche 24 novembre 2019 à Sèmè-Kpodji, l’une des communes où ils sont les premiers autochtones, et pour plusieurs activités en vue.

D’entrée de jeu, une retraite aux flambeaux est prévue pour ce samedi, pour annoncer les festivités commémoratives de demain.

S’en suivra une messe d’action de grâce demain dimanche à 10 heures 00 à l’église protestante de Sèmè-Kpodji, non loin de la maison des jeunes. A 12h 30, la maison des jeunes servira de cadre pour des échanges autour d’un thème lié à l’éclosion et à l’épanouissement de toutes les filles et de tous les fils de la communauté Xwla et Sèto, principal objectif qui a nourri les ambitions de la création de l’association Uffed.

Et c’est bien après cette étape que prendront place dans le même cadre, les réjouissances populaires (pique-nique). De quoi célébrer en beauté les retrouvailles entre frères de la même localité, sous les regards bienveillants des cadres politiques Xwla et Sèto et d’autres invités de différentes localités conviés pour la circonstance.

Rappelons que bien avant cette célébration à grande mobilisation, un autre geste fort avait marqué la célébration des deux (02) ans de l’Uffed. Il s’agit d’une campagne de salubrité organisée par la responsable des affaires féminines de l’association. Déroulée le samedi 09 novembre dernier, cette action a permis de mettre au propre plus d’une vingtaine des rues du quartier Adogléta (Akpakpa, Cotonou). Geste salué par Urbain Kétounou depuis la France où il réside, président et fondateur de ladite association.

Condamné à 02 ans ferme, 02 millions F Cfa d’amande avec mandat d’arrêt : Voici la vive réaction de l’opposant Valentin Djènontin

Condamné à 02 ans ferme, 02 millions F Cfa d’amande avec mandat d’arrêt

Voici la vive réaction de l’opposant Valentin Djènontin

Publié le 23 Nov. 2019 à 10h 30’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

l'opposant Valentin Djènontin Agossou

Quelques heures après la tombée de l’amère sentence qui condamne son acte, l’opposant béninois et ancien Ministre de la justice sous le régime défunt, Valentin Djènontin Agossou réagit. Accusé d’être complice de soustraction d’un document administratif qu’il a fait publier sur les réseaux sociaux, donc de « complicité, vol et divulgation de document administratif », il a écopé d’une sanction bien lourde hier vendredi 22 novembre 2019.

Deux (02) ans d’emprisonnement ferme, avec une amande d’un montant de deux (02) millions F CFA, le tout assorti d’un mandat d’arrêt international à son encontre.

« Je ne suis nullement surpris depuis qu’ils ont délivré la citation directe, un an après… ».

« C’est une bonne réplique en représailles au rendez-vous manqué entre Talon et Yayi ».

« Je suis déjà habitué à ces coups et à chaque sortie du Président Yayi ».

« C’est un faux dossier. Mais je m’en remets à Dieu car c’est lui qui change les temps et les circonstances, qui renverse et qui établit les rois, qui donne la sagesse aux sages et la science à ceux qui ont de l’intelligence », réagit depuis la France où est exilé depuis septembre 2018 l’ex-député de la 7è législature et ancien Secrétaire Exécutif National du parti Forces Cauris pour un Bénin Emergeant (FCBE).

Selon nos sources, la justice béninoise est déjà à pieds d’œuvre pour l’arrestation de l’opposant politique Valentin Djènontin afin qu’il soit extradé au Bénin et purger sa peine.

Exilé en France depuis près d’un an : L’opposant béninois Valentin Djènontin condamné à 02 ans ferme et visé par un mandat d’arrêt

Exilé en France depuis près d’un an

L’opposant béninois Valentin Djènontin condamné à 02 ans ferme et visé par un mandat d’arrêt

Publié le 22 Nov. 2019 à 18h 07’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

 

Valentin Djènontin Agossou bientôt dans une vraie galère

L’ancien Ministre de la justice, député de la 7è législature et ancien Secrétaire Exécutif National du parti de l’opposition FCBE exilé en France depuis près d’un an, Valentin Djènontin Agossou est visé par la justice béninoise. Il a été condamné en début de cet après-midi à deux (02) ans d’emprisonnement ferme puis à deux (02) millions F CFA d’amende. Et ce n’est pas fini. Un mandat d’arrêt international est décerné contre le prévenu à qui il est reproché  « complicité, vol et divulgation de document administratif ».

Convoqué à maintes reprises par le juge du Tribunal de première instance de première classe de Cotonou, le prévenu (exilé en France) n’a jamais répondu au procès. Bien avant, c’est-à-dire le 27 septembre dernier, il a été convoqué par l’office central de répression de la cybercriminalité pour venir s’expliquer sur l’acte de diffusion sur les réseaux sociaux, d’un courrier administratif destiné à la Cour de Répression des Infractions Economiques et du terrorisme (CRIET). Ainsi, par défaut, le juge l’a condamné ce jour vendredi 22 novembre 2019 vis-à-vis des règlementations du code du numérique voté et promulgué par le Président de la République.

Selon les explications du juge, alors que ledit courrier était apprêté un vendredi pour être envoyé le lundi suivant au destinataire (Criet), le document parcourait déjà les groupes et contacts de réseaux sociaux (WhatsApp et Facebook) le week-end. Un fait qui porte atteinte à la sensibilité de l’administration, sévèrement punis par le code numérique.

Par cette décision de justice, l’opposant Valentin Djènontin Agossou devra être recherché, arrêté puis rapatrié au Bénin, afin de venir répondre de son acte à lui reproché.

Cependant, lorsqu’on sait que  le Bénin traverse une crise politique tendue depuis les législatives « exclusives » d’avril dernier, cette décision de justice en ce moment ne vient-elle pas raviver les critiques des opposants au gouvernement en place ?

Joël AIVO à propos de la révision de la constitution sous la Rupture : « …Le processus de la révision de la Constitution du Bénin est le plus « long », le plus obscur et le plus opaque que j’ai connu… »

Joël AIVO à propos de la révision de la constitution sous la Rupture

« …Le processus de la révision de la Constitution du Bénin est le plus « long », le plus obscur et le plus opaque que j’ai connu… »

Publié le 21 Nov. 2019 à 22h 50’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

Joel AIVO

Invité sur le plateau de la télévision Sikka TV dans un « Entretien Spécial » animé par Honoré Nahoum et Landry Salanon ce soir, le constitutionnaliste, professeur de droit et ancien doyen de la faculté des droits et des sciences politiques (Fadesp) de l’Université d’Abomey-Calavi a jeté un regard d’analyses et d’appréciations sur l’état des lieux de l’atmosphère sociopolitique du Bénin. Parti du déroulement de la révision de la Constitution béninoise des 31 octobre et 1er octobre dernier, le natif et originaire de la capitale du Bénin a opiné sur le processus qu’il qualifie de biaisé.

D’entrée de jeu, il a rappelé que la Constitution béninoise du 11 décembre 1990, malgré ses insuffisances, n’a jamais été obstacle pour le développement du Bénin. A l’en croire, le processus de la révision de la Constitution du Bénin a été le plus « long » (pour ne pas dire le plus court), le plus obscur et le plus opaque qu’il ait connu de sa vie.

Et pour cause, tout le processus ayant démarré un 31 octobre a pris fin le 12 novembre 2019. Donc, 13 jours pour reformater tout le fonctionnement d’une République réputée  en Afrique et dans le monde entier pour un pays de paix et de concorde.

 Dans ses explications, il a fustigé le fait qu’à l’Assemblée Nationale, il n’y ait même pas eu le moindre débat autour des articles modifiés. « Tous les 83 députés sont restés dressés derrière le principe, sans la moindre contestation. Et le peuple est resté bien loin des réalités », a-t-il fait savoir.

Le contenu de la nouvelle Constitution Béninoise n’avait jamais été connu et rendu public, si ce n’est le 12 novembre 2019, 05 jours après qu’elle ait été promulguée par le Président Patrice Talon. De quoi dénoncer une précipitation et un véritable forcing qui ne fait que discréditer l’acte des 31 et 01 Novembre 2019 en défaveur du peuple béninois.

Quelques heures après son retour : Boni Yayi a quitté précipitamment Cotonou hier soir (Voici les raisons)

Quelques heures après son retour

Boni Yayi a quitté précipitamment Cotonou hier soir (Voici les raisons)

Publié le 21 Nov. 2019 à 9h 38’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

 

Quelques membres de la délégation Cedeao à Cotonou hier

De retour au Bénin après cinq (05) mois d’absence et en compagnie d’une délégation de la Cedeao hier mercredi 20 novembre 2019, l’ex-Président de la République du Bénin a quitté le Bénin à nouveau. Et pour cause, un incident diplomatique se serait survenu entre ladite délégation et le Président de la République Patrice Talon.

En effet, la délégation de la Cedeao avait accompagné l’ex Chef d’Etat Boni Yayi pour une mission (de 72  heures) bien définie : intervenir pour éradiquer la crise sociopolitique qui règne entre l’actuel Chef d’Etat du Bénin et ses opposants politiques, pour un retour total de la paix au Bénin.

Mais hélas ! Le Chef de l’Etat Patrice Talon se serait opposé à ce que la Cedeao rencontre l’opposition, tout en exigeant que son prédécesseur Boni Yayi aille le rencontrer seul au palais de la Marina, selon France 24. Ce qui n’est pas du goût ni de la délégation de la Cedeao ni de l’opposition entière.

De sources concordantes, la délégation de la Cedeao conduite par le nigérian Abdulsalami Abubakar a quitté le palais présidentiel dans une ambiance pas trop conviviale, demandant à Boni Yayi de les rejoindre, car sa sécurité ne serait pas encore garantie en terre béninoise. En en guise de protestation à cet incident diplomatique, Boni Yayi a dû quitter Cotonou hier soir aux environs de 20 heures, à bord de l’avion spécial « Nigeria Air Force 5N-FGS » à lui affrété par le Président nigérian Muhammadu Buhari.

Nous y revenons.

Quelques membres de la délégation Cedeao à Cotonou

Rentré par un vol spécial affrété par le Président Buhari : Boni Yayi aurait séjourné dans 02 pays d’Afrique de l’Ouest, avant son retour à Cotonou

Rentré par un vol spécial affrété par le Président Buhari

Boni Yayi aurait séjourné dans 02 pays d’Afrique de l’Ouest, avant son retour à Cotonou

Publié le 20 Nov. 2019 à 23h 28’

Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE

Le retour au bercail de l’ex-Chef d’Etat Boni Yayi cet après-midi à bord du vol « Nigeria Air Force 5N-FGS » n’a pas fini de livrer ses indiscrétions restées inconnues de la masse. Alors qu’il a quitté Cotonou un 22 juin pour aller se faire opérer en Europe après les 52 jours de confinement dans son domicile, l’ex Président de la République du Bénin et président d’honneur du parti politique de l’opposition Forces Cauris pour un Bénin Emergeant (FCBE) n’aurait pas quitté l’hôpital directement pour Cotonou.

Des sources proches du natif de Tchaourou, l’homme aurait déjà fini ses soins et se serait rétabli depuis mi-septembre 2019. N’étant pas rassuré de l’abandon du projet de poursuite judiciaire agitée à son encontre suite aux violences post-électorales, il a dû se remettre dans les aisselles de l’ancien Président en exercice de la Cedeao, le Président de la République fédérale du Nigeria, Muhammadu Buhari, grâce à qui il a bénéficié de deux (02) bons mois d’hospitalité.

C’est donc après s’être débarrassé de toutes les inquiétudes qu’il a finalement pris la décision de poser les pieds dans son pays.

Et comme si cela ne suffirait pas, avant de prendre départ pour Cotonou, Yayi a séjourné également pendant quelques jours avec l’actuel Président en exercice de la Cedeao, le Président du Niger, Mahamadou Issifou grâce à qui une délégation officielle de la Cedeao a accompagné l’homme pour son come-back.

Selon les mêmes sources, Boni Yayi devrait retourner au Nigeria, après quelques jours à Cotonou, avant de retourner définitivement. Pour le moment, le motif de son départ aux côtés de Muhammadu Buhari du Nigeria reste inconnu.

Les prochains jours nous élucideront.