6è
Forum Mondial de la Musique
Le
Bénin honoré grâce à une délégation conduite par GURU Records
(Les
05 droits des artistes musiciens revisités pour leur mieux-être)
Publié
le 07 Oct. 2019 à 19h 43’
Par
Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE
Prosper Akouègnon Gogoyi, présentant son exposé |
Du
27 septembre au 01 octobre 2019, et sous la houlette de l’UNESCO, un grand
rendez-vous planétaire organisé par le Conseil
International de la Musique (CIM) a réuni les hauts gestionnaires et
administrateurs du secteur musical à Paris, en France. Intitulé « Forum
mondial de la Musique », l’événement qui était à sa 6è édition a permis
d’acter de nouvelles directives, pour l’épanouissement des artistes musiciens.
Et le thème à savoir « Les cinq (05) droits fondamentaux de la
musique », l’insinue mieux.
S’exprimer
musicalement et en toute liberté
Apprendre les
langues et les compétences musicales
Avoir accès aux
implications musicales à travers la participation, l’écoute, la création et l’information
Développer leur art
et communiquer à travers tous les média, avec des installations adéquates à
leur disposition.
Obtenir une reconnaissance
et une rémunération équitables à leur travail.
Voici les cinq (05)
droits fondamentaux de la musique qui ont fait objet d’échanges et de communications
pendant cinq (05) jours entre experts et administrateurs du domaine musicale, à
l’occasion du 6è « Forum mondial de la Musique ».
Valablement représenté
par un trio coiffé par le président du « Conseil Béninois de la Musique »
Prosper Gogoyi Akouègnon, le Bénin a
joué une partition acclamée à l’occasion de cette rencontre internationale.
Ceci, à travers un exposé qui retrace la viabilisation des efforts fournis par
le gouvernement de la Rupture, grâce aux réformes initiées pour
professionnaliser le secteur musical et permettre aux acteurs d’œuvres d’esprit
de jouir de leurs droits fondamentaux.
« A travers
notre exposé, nous avons démontré, au nom du Bénin, les démarches entreprises
au niveau du Bureau Béninois du Droit d’Auteur (BuBeDra) ; au niveau du
streaming (téléchargement numérique), au niveau des maisons de téléphonie
mobile (Gsm) où les contrats ont été revus au profit des artistes
musiciens », a rappelé Prosper
Gogoyi Akouègnon, promoteur de la maison de productions GURU Records, épaulé par Natacha Amégniavè et Juste Bossou à cette grande rencontre
bien fructueuse.
La création de l’Agence
de gestion des événements officiels culturels ; la réorganisation des
acteurs du monde musical pour mieux s’outiller à gérer le nouveau marché du
monde musical qui existe sont d’autres pistes porteurs d’espoir à la
structuration du secteur, condition sine qua none pour tout acteur de mieux
jouir de ses efforts, explique-t-il.
Rappelons qu’à
l’occasion des échanges, un accent particulier a fait objet de grande
sollicitation de la part des membres du Conseil International de la Musique. Il
s’agit du 5è droit des musiciens : celui évoquant une reconnaissance et
une rémunération équitables à leur travail.
... en complicité avec le président du Conseil International de la Musique |
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