En
tournée européenne depuis 06 mois
GANGBE
Brass Band de retour à Cotonou avec un incroyable cadeau dans les valises
Publié
le 09 Oct. 2019 à 00h 31’
Par
Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE
GANGBE Brass Band |
Célèbre
orchestre béninois accroc des rythmes jazz, afrobeat et de la fanfare moderne, GANGBE Brass Band est de retour à Cotonou,
après une riche tournée musicale de six (06) mois en Europe.
Il sonnait 19h 20mn ce mardi 08 octobre 2019,
et le Boeing de la compagnie Air France atterrit sur le tarmac de l’aéroport
international Cardinal Gantin de Cotonou. Dans le lot des passagers remplissant
les formalités d’usage, on aperçoit un groupe de personnes, l’une après l’autre,
valises et instruments de musique dans les bras. Il s’agit bien des membres du
groupe GANGBE Brass Band qui sont de retour au bercail, après six (06) mois d’absence
bien justifiée par une cause de fierté : une tournée artistique dans
plusieurs pays d’Europe.
De la France en
Hollande, en passant par la Suisse, l’Italie, l’Autriche, etc., GANGBE Brass
Band a encore fait trembler et frissonner des milliers de corps aux rythmes de
la fanfare cuivrée, de percussion et de polyphonie. Ceci, à travers des
dizaines de spectacles et créations hors pair avec de grands groupes et
orchestres fascinés par leur originalité.
« Cette
tournée a été l’une des plus riches de notre carrière car elle a été marquée
par des résidences de créations avec des orchestres de renommée », nous a
confié Martial Ahouandjinou, membre de l’orchestre.
A la question de
savoir le cadeau réservé aux fans Béninois, Martial Ahouandjnou sourit et se
libère…
« Un gros cadeau
est bel et bien dans nos valises est il est destiné non seulement aux fans
Béninois, mais aux fans du monde entier. Il s’agit du tout nouvel album, le 6è du
groupe GANGBE Brass Band, enregistré en Europe, à l’occasion de cette tournée. Son
nom, « New Orleans Dream » ou « le Rêve de la Nouvelle Orléans ».
Riche de 10 titres,
l’album présente de nouvelles performances jamais connues du groupe qui a déjà
au compteur, 25 années d’existence. Du « Massè gohoun », du « Gogohoun »,
du « Eyô » distillé dans du cuivre, l’on imagine l’intensité et la
folie artistique des sonorités.
We wait and see.
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