Supposée
fuite du régisseur de la DGID avec près de 04 Milliards de nos Francs
Les
responsables de la DGID doivent apporter les preuves pour la manifestation de
la vérité
(Et si c’était un nouveau scandale orchestré à profit
pour embrouiller les cartes ?)
Publié le 07 Oct. 2019 à 21h 22'
Par Loth HOUSSOU, La TEMPÊTE
Carlos Adohouanon, le régisseur de la DGID toujours porté disparu |
Déjà 17 jours, et aucune trace du sieur Carlos Adohouanon, régisseur de la direction générale
des impôts et des domaines n’est encore retrouvée. Et pendant que les parents, les
proches et amis du disparu vivent un douloureux martyr psychologique à la
« Dangnivo bis », une affaire de disparition d’argent public s’invite
dans la danse. Et l’on parle bien d’un montant colossal d’environs 04 Milliards
de nos Francs CFA portés disparu le même jour que le sieur Carlos Adohouanon.
Informée de
l’affaire, notre rédaction a relayé l’information qui a été divulguée à travers
plusieurs autres médias de la place. Mais suite à nos enquêtes et analyses, il
convient de révéler certains coins d’ombre qui frisent un grand doute lié à
l’authenticité de la thèse selon laquelle le sieur Carlos se serait enfui avec
une pareille somme.
En effet, de
l’analyse de nos recoupements, il est bien difficile de croire que le fait
attribué au sieur Carlos Adohouanon soit vérifié, sauf démonstrations avec
preuves palpables de la part des responsables en charge du dossier.
Un individu peut-il
transporter avec lui sans inquiétude, dans un véhicule, un montant liquide de
04 Milliards de Francs CFA ?
Comment aurait-il
réussi cette « délicate opération » digne d’un film d’Hollywood sans avoir
été inquiété, suspecté et interpellé ?
Et si c’était
vérifié, n’y aurait-il pas des complices au sein de la DGID ?
Mieux, la supposée
disparition d’environs 04 Milliards de Francs CFA ne serait-elle pas un
scandale créé à profit pour embrouiller les cartes ?
Autant de questions
qui ne trouveront leurs réponses dès que les responsables en charge du dossier viendront
éclairer l’opinion publique, pour la manifestation de la vérité.
Nous y reviendrons.
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